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Son dessein, c’est la recherche de ce qui est beau, élégant, esthétique, agréable à voir dans les lignes, les formes et les couleurs. Au niveau des couleurs, il cherche à éviter le clinquant, le criard et le fade. Il ne désire pas surprendre ou choquer. François COUPERIN affirmait: «Je préfère ce qui me touche plutôt que ce qui me surprend» A son avis, une peinture doit être agréable, procurer du plaisir et de la satisfaction. Il apprécie tout particulièrement ce qui est soigné, appliqué. Il a le goût du travail bien fait. Vous ne verrez pas de tâches de bavures, de dégoulis. Si ses tableaux paraissent trop léchés, c’est parce que son travail de finition ne laisse pas de place au hasard.

 

Il a toujours le souci de ce qui est construit, pensé, élaboré et organisé. La spontanéité peut présenter un intérêt, mais, lui semble-t-il elle doit être maitrisée et contrôlée. Il lui parait nécessaire et indispensable de maitriser la technique, d’apprendre à penser avant de passer à la réalisation. Ce qui est construit est solide, et à la longue, on est jamais déçu. Pour ce faire, il convient de posséder une logique qui puisse gouverner son travail.

 

On lui demande fréquemment: «Comment qualifier votre style?» «Quelles sont vos influences?». Les influences sont multiples et il est difficile de les définir avec précision. Le cubisme a eu une grande influence sur moi. Quant à ce «style géométrique», terme vague qui désigne assez bien ses peintures, il avoue que c’est une manière personnelle de faire qui suit son chemin. Quand un écrivain se met au travail, il ne se dit pas «je vais écrire un oeuvre romantique, surréaliste, etc...» Il écrit, c’est tout. Aux lecteurs de définir, de classer. Cette classification ne le concerne pas   Dans le ciel, par exemple, on peut observer ces parcelles qui le décomposent en plusieurs éléments. LAVOISIER disait: «La nature a horreur du vide». Je ne suis pas chimiste, mais je partage son avis. Je n’imagine pas une grande surface bleue et lisse, qui pourrait sembler vide, monotone: je pourrais la remplir avec des dégradés, des taches, etc... mais je peux aussi «rythmer» cette surface avec des «parcelles». 
 


Je décompose alors le ciel en morceaux, mais pas au hasard. Cela s’effectue en fonction des lignes, des éléments du paysage qui ne pourraient  être modifiés (l’architecture par exemple). Je suis alors en mesure de structurer l’ensemble comme dans un jeu de construction. Tous les éléments, une fois réunis, sont mis en relation entre eux, s’imbriquent. Par exemple, une parcelle de ciel (losange bleu outre-mer) peut trouver son pendant, son correspondant dans une parcelle de végétation de la même forme et de la même couleur. 

C’est ainsi que cette répétition  offre une impression d’unité, tout se trouve lié. Il ne s’agit pas là d’un puzzle, où toutes les pièces sont identiques. Dans certains tableaux, on peut trouver un thème, un sujet. Si on me permet un parallèle avec la musique, je dirais que la mélodie apparait au début du morceau et revient régulièrement. Ainsi, le toit du donjon du Vieux château de Laval, par exemple, se répète dans le ciel, dans la végétation, etc... à l’endroit, à l'envers, augmenté ou diminué, selon les besoins, comme dans une fugue de J.S BACH. 

J’utilise beaucoup les diagonales. Généralement, dans l’observation d’un tableau ou d’un paysage, on se repère avec les horizontales et les verticales. La présence des diagonales permet, dans un premier temps, de déstabiliser la toile, de la déséquilibrer. Ensuite, la répétition de ces diagonales, de parallèles permet de rappeler, de réaffirmer ces obliques: Il faut répéter pour donner un équilibre et une unité. En outre, cela donne la possibilité de faire «vibrer» le tableau, de lui donner une force et un dynamisme. Cela produit une impression d’espace nécessaire car j’utilise peu les volumes - ou les cubes - mais des surfaces, des plans. C’est une façon de passer de deux à trois dimensions. J’aime également employer des parcelles minuscules d’ombre ou de lumière, qui créent une certaine vibration.

L'her du large
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30 contes et nouvelles sur l'île de Noirmoutier
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Laval en 53 clins d'oeil
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Petite histoire naïve
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Peinture à cordes
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ARTHERAPIE et MUSICOTHERAPIE
Une expérience à tenter... si vous souffrez dans votre corps et/ou dans votre âme. Si vous êtes en quête d'une plus grande ouverture, d'un plus grand épanouissement...
Ce que je vous propse ne présente aucun danger. Au contraire, l'observation appliquée de mes tableaux est bienfaisante. Mon esprit est positif et réglé par les trois B, comme je vous en ai déjà parlé: le BEAU, le BON et le BIEN de tous. Pas de violence ni d'agressivité ! Votre  implication et votre discernement sont essentiels car il s'agit d'un dialogue, d'un échange, que vous pouvez à chaque instant refuser et interrompre.
PEINTURE ET MUSIQUE font bon ménage. Personnellement, j'apprécie beaucoup de faire de la peinture en écoutant de lamusique. Ce sont deux arts qui se complètent et un bon choix peut produire un mariage merveilleux. Se remplir de beauté les yeux et les oreilles, quel bonheur ! A vous de jouer !
 
1. Installez-vous confortablement dans un fauteuil-relax, au calme et dans une lumière tamisée, en gardant les yeux mi-clos. Essayez- de faire le vide dans votre tête…
 
2, Sur un écran, faites défiler très lentement une série de mes tableaux. Par exemple ;
- Paris et villes d’Europe
- Nocturnes
- Fleurs
- Flammes
- Dessins au crayon : Noirmoutier, Laval, la Mayenne
Bien entendu, vous avez le loisir de choisir d'autres peintures. Ce qui me semble primordial, c'est d'opter pour des peintures non tourmentées, violentes ou agressives. Les miennes ont la particularité d'être sereines et limpides. Sentez-vous inspiré par ce qui est devant vos yeux.
 
 
3. Voyage en musique. Accompagnez le visionnage avec par exemple une des musiques suivantes :
- musique solfeggio (reconnue pour ses effets)
INSTRUMENT SEUL
- muique celtique pour harpe
- Der Fluyten Lust Hot, (flûte à bec) de Jacob Van Eyck
- Suites pour violonvelle de J. S. BACH 
- Sonates  et partita pour violon seul de J. S. BACH
- Pièces de viole, de DEMACHY
- Pièces de luth, de Sylvius Léoplold WEISS
 
MUSIQUES OPTIMISTES
- Consort de violes de William BYRD
- Concertos Brandebourgeois de J. S. BACH
MUSIQUES PLUS PROFONDES
- Pièces de clavecin de François et de Louis COUPERIN
- Pièces de viole de DEMACHY
- Pièces de luth, Sylvius Léopold WEISS
- Pièces de clavecin, FROBERGER
- Pièces de clavecin de Jean-Philippe RAMEAU
- Quatuors à cordes de Josph HAYDN
- Sonate et Concerti Grossi d’Arcangelo CORELLI
- Le clavier bien tempéré,  1 et 2. de J. S. BACH (piano ou clavecin)
- Sonates pour piano, de L. Van BEETHOVEN
- Trios à cordes, avec piano forte de Luigi BOCCHERINI
- Trios (avec piano) de MOZART
- Suites et pièces de clavecin (ou piano) de G. F. HAENDEL
- Sonates pour flûte, de G. F. HAENDEL
- Pièces pour guitare de Gaspar SANZ
- Franz Schubert, lieder: An die Musik, Adelaïde etc.
 
MUSIQUES PLUS PASSIONNEES:
Des chansons:
Guy Béart, Isabelle AUBRET, Francis CABREL...
Bien d'autres encore. Ce ne sont que quelques suggestions personnelles. Votre liberté est totale. Evitez, cependant, des  orchestrations trop retentissantes comme les fanfares, grandes formations orchestrales, et instruments à vent. ...  Du moins au début. La musique de chambre et les  instruments à cordes conviennent à merveille.(harpe, violoncelle, guitare...) Un instrument soliste également. En optant pour une musique douce et sereine, profonde et optimiste, les bienfaits seront plus rapides car ils seront plus aisés à intérioriser.                       
 
 
4. Pendant le visionnage. Plusieurs possibilités: si vous contrôlez le visionnage, passez plus rapidement sur les images  qui "ne vous disent rien". Faites durer votre regard sur celles "qui vous parlent". Vous avez le choix de répéter l'opération plusieurs fois et finir par "séjourner" devant deux ou trois tableaux et de terminer par celui qui vous "parle vraiment".
Une analyse réfléchie et concentrée doit permettre de dégager ce qui vous plaît: thème, couleurs, formes, construction, élaboration, lignes, contrastes, dégradés, matière, ombres et lumières, perspective etc. Si rien ne sort de cette première analyse, répétez l'opération. Nous reviendrons plus tard sur les conclusions à en tirer et les effets ressentis. Ils ne seront pas immédiats, mais le principal est aller de l'avant.
....
 
5. Bien choisir sa musique 
en fonction de son état présent:
agitation, angoisse, stress, colère, déception, rancoeur, amertume: si vous êtes en proie à des sentiments violents, rien ne pourra vous apaiser véritablement. Après une promenade au grand air, il vous sera plus facile de revenir à notte sujet.
- Sans se forcer : la contrainte, par nature, ne permet pas de se détendre
- Se sentir détendu, disposé à développer davantage détente et sérénité. Pour ce faire, une musique douce et relaxante sera bénéfique.
- En fonction du but recherché:
Apaisement, joie, calme, sérénité, paix intérieure, confiance en soi,  Il est préférable de procéder par tâtonnement
développer une ouverture. Des musiques inconnues peuvent vous révéler des facettes inconnues de la culture humaine
découvrir le monde de l'art, source de joie. Il est bon de faire preuve de curiosité. 
Confirmer ou formuler son bien-être. si vous êtes joyeux, trouvez une musique sur mesure.
- En fonction de ses goûts: c'est une règle qui ne déçoit jamais.
Ce qui importe, c'est que la musique vous inspire, que vous la trouviez adéquate et que vous vous sentiez détendu(e).

6. Etre accompagné
Au cours de ces séances que vous organiserez, faites preuve de réceptivité. Il ne s'agit pas d'un processus à sens unique. Bien au contraire, les images que vous regarderez et la musique que vous entendrez auront une influence sur votre mental et sur votre corps (voir les commentaires sur les musiques solfeggio). Ne dit-on pas "la musique adoucit les moeurs" ? Ainsi, les fanfares militaires ont pour but d'exalter les sentiments patriotiques, militaires et combatifs, (extériorisation) tandis que la musique sacrée - grégorien en particulier - incite au recueillemeent et à la méditation (intériorisation). Les musiques "intermédiaires" sont plus modérées. Considérez ces musiques comme le souffle d'une personne présente et bienveillante qui vous accompagne. La musique de chambre est plus intime mais certains mouvements sont agités voire tourmentés. Eliminez ce qui vous destabilise.

Façade, facette, face....Nombreuses sont les peintures qui offrent une face ,comme une présence avec laquelle il est possible de discuter ou de se confier, une facette, une façade avec laquelle on peut se protéger ou une armure avec laquelle on peut se défendre.
Nature, cosmos, empathie, adéquation. Voilà des mots réconfortants pour la dépression: il s'agit à la fois de s'ouvrir, s'aventurer, mais d'être prudent. Ces peintures sont traitées comme des amies qu'on a faites siennes, des guides qui peuvent nous aider à cheminer. Nous poiuvons compter sur elles.
Il s'agit de sortir de soi-même et de trouver une force, la force qui saura nous donner de l'élan, de s'ouvrir à un autre monde.
Derrière la peinture, comme derrière un masque, se trouve une personne qui ne cherche pas à se dissimuler, au contraire.
- Je m'approprie peinture et musique. Je deviens l'artiste ou je m'assimile à lui.
- Je m'intéresse à d'autres personnes inconnues que je vais découvrir via peinture et musique.
Je retrouve la confiance en moi. Je peux décider.  Je peux agir. Je ne suis plus un objet du destin.  Je peux choisir. Accepter ou refuser.
- Je recherche une compagnie. Je ne suis plus seul. Derrière le tableau se cache un peintre. Derrière la musique, un musicien. Les sentez-vous? Etes-vous en harmonie avec eux? Avec leur réalisation ? Y a t-il une empathie? Une connivence?
Pourquoi ne pas entamer une conversation?
Je suis émetteur et récepteur à la fois, sans fonctionner en circuit fermé. Tout est ouvert autour de moi et je suis en conquête.
Je me concentre sur la peinture et je m'oublie... Il n'y a que le tableau  et je m'assimile à lui.
 
7. Faire travailler sa capacité d'analyse et son imagination
L'approche superficielle est nécessaire au début, mais elle n'apporte pas grand'chose. Une approche approfondie est nécessaire pour profiter pleinement de ces richesses. Coup de foudre ou non, peu importe !
Il peut paraître plus aisé de se fixer plus profondément sur un seul tableau. A votre guise.
Eveillez vos sens avec la durée. Une observation répétitive et prolongée fait découvrir ou sentir une quantité de choses insoupçonnées. Notre regard est saturé et agressé par trop de publicités, d'éclairages violents et à la fin du compte, nous ne voyons plus rien et  nous ne savons plus regarder. Vidons nos yeux d'abord et regardons ce qui en vaut la peine, ce qui nourrit. Il en est de même pour la musique: faisons et silence et plongeons-nous dans le monde de l'harmonie.
Analysez pour comprendre. Nous ne sommes pas isolés du monde extérieur et nous en subissons le magnétisme de la même façon que le monde qui nous entoure est imprégné par notre présence. Il y a une intéraction perpétuelle entre tous les éléments de l'univers. Ainsi, si vous placez une boîte blanche dans une pièce rose, elle va devenir rose. Ce n'est pas de la magie ! Pourquoi cette peinture me plaît-elle ?  Et cette musique ?
Les couleurs chaudes (jaune, rouge, orange...)vont éveiller en vous des sentiments de joie, d'enthousiasme et d'entrain. Elles ont tendance à vous diriger vers l'extérieur. Les couleurs froides (bleu, rose, vert) vous incitent au recueillement, au calme et à l'intériorité.
A vous de réfléchir sur les diverses techniques picturales (ou musicales). J'ai un penchant pour la couleur orange ou bleue. Je me sens bien en leur présence. Elles m'évoquent... Les lignes courbent me sont agréables car elles sont douces et reposantes... Les tons pastels sont accueillants et non agressifs...
Lors de mes expositions, j'ai eu l'occasion d'observer le comportement des visiteurs. Quasiment la plupart des personnes jettent un regard superficiel, furtif, qui glisse sans pénétrer, sans entrer dans la matière. Ces gens-là ne "voient" rien et oublient vite ce que leurs yeux ont parcouru sans laisser de traces. Rien n'est enregisté ou mémorisé. Ils sont hermétiques. C'est pour cette raison, qu'une éducation et un entraînement sont nécessaires. D'autres personnes, par contre, possèdent une qualité d'attention car elles sont ouvertes sur le monde et se  sont affranchies des barrières, tabous et interdictions en développant leur don de curiosité et de compréhension. Ces personnes sont capables d'emmagasiner une quantité innombrables de données et d'émotions. Elles possèdent une vie intérieure particulièrement riche car leurs sens sont éveillés. 
Vue d'ensemble : appréciez l'unité, l'homogénéité de la composition, du style, des formes et des couleurs. L'équilibre joue un grand rôle dans la qualité du tableau. L'équilibre de l'artiste se ressent, il pénètre en vous. Détail par détail, pas à pas, nous pouvons parcourir un long chemin. Dans notre monde pressé, sachons faire preuve de patience. Ouvrons la porte au silence intérieur, à la sérénité, à la paix de l'âme. Mes soucis ne ne concernent pas et je les mets de côté, je les oublie,
Imaginez car tout n'est pas formulé. Créez des images mentales. Avec les fleurs, imaginez les parfums, avec les instruments, imaginez la musique, avec le feu, imaginez la chaleur etc. Donnez de la vie, faites palpiter ce que votre regard observe.
Familiarisez-vous avec la peinture, entrez dans l'intimité du tableau, identifiez-vous avec ce que vous voyez, pénétrez dans la pensée du peintre, imaginez ses gestes, ses émotions et appropriez-vous de l'oeuvre. Vous avez quitté votre ego et vous vous envolez dans le monde du rêve...
 
8. Contemplation
Oui, avoir un outil pour rêver est important. Il permet de prendre son envol et d'envahir les grands espaces... Plus de tabous, plus de barreaux, plus de limites. Votre pensée est libre, entièrement libre, et peut envahir les espaces incontrôlés et inimaginés. Le cosmos, qui dépasse tout entendement. Vous n'êtes plus un corps, mais l'univers incommensurable, éternel !
 
La laideur abaisse, détruit, n'est que source de malheur... Nous en constatons chaque jour les effets.
Les trois B: dimensions mentale, corporelle et spirituelle: la plénitude
Le beau est un confort qui réjouit et détend. Vivre et s'épanouir dans un cadre pur, sain et serein. Quoi de mieux ?
le bon est agréable au corps et au mental. Habiter son corps et sentir le bien-être
le bien nous élève spirituellement et nous libère. Respirer à pleins poumons à l'infini.
Les 3 B annoblissent l'Homme. De l'être pusillanime à l'être magnanime. La grandeur véritable de l'homme est de pouvoir se dépasser
 
9. Gestion des émotions et libération. 
 Oui, avoir un outil pour se libérer est important. Il permet de traverser les frontières et de transcender notre condition humaine
De devenir universels, cosmopolites.
En conclusion
L'introspection est essentielle,le beau est contagieux: il faut quittter le monde de la douleur et de la sopuffrance - cela ne tient qu'à vous - pour habiter le monde du bonheur ou de la paix.
Il faut être fort et  invulnérable et miser sur le solide et le confort. Facile à dire car vous en avez les moyens.
S'oublier ,oublier son corps, faire siennes peinture et musique, s'aérer le cerveau.
transcender le beau nous achemine vers le spirituel, vers le divin
où règne la paix du corps et de l'esprit.
En conclusion
Un échec ? Une démarche stérile ? En tout cas, pas inutile, car, à mon avis, ces réflexions permettent de visiter avec un regard neuf et entraîné ce monde éblouissant de la peinture. Et de la musique. Cette exprérience aura, à coupsûr, des répercussions sur notre comportement. Le simple fait de s'ouvrir.
 
10. Si vous êtes déçu; deux possibilités! Arrêter ou persister.
Ne restez jamais sur un échec ! D'abord, est-ce vraiment un échec ? Vous avez visé trop haut ou vous manquez de patience,
Récidivez l'expérience. Les résultats peuvent se manifester plus tardivement
Trouver sa voie. Mais cela n'est pas de mon ressort.
Essayez de trouver une autre formule, d'adopter une autre démarche.
Il y aura certainement des répercussions.
La peinture ne prétend pas être un remède. C'est un complément..
Des expériences ont été menées auprès de grands malades, psychopathes et personnes en fin de vie: l'écoute d'une musique douce et calme apporte apaisement et les emplit de sérénité. Il en est de même pour la contemplation d'une peinture lumineuse. La présence des arts, même si elle ne guérit pas, a le mérite, du moins, d'apporter soulagement et consolation : la lumière qui se voit sur les visages en est un magnifique témoignage.

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